Hier le monde entier a été témoin de la bévue du Premier ministre malien à la tribune des Nations Unies où il a osé dire que le Président Mohamed Bazoum est un étranger. Les vrais panafricanistes se posent mille et une questions sur la posture de cet élément de la junte malienne propulsé à une fonction qui exige sagesse et sens de la répartie. Nous avons recueilli les réactions ci-dessous des nigériens à travers les réseaux sociaux.
KALLA Moutari
L’uppercut du Premier Ministre malien par intérim à l’endroit du Président de la République du Niger : un précédent dangereux pour les générations futures !
L’acte irrespectueux que le Premier Ministre malien par intérim a posé sur la tribune des Nations-Unies est totalement irresponsable de la part d’un pays avec lequel nous avons des liens séculaires très forts depuis des décennies ! Cette attitude va-t-en-guerre loin de créer un climat apaisé entre nos deux pays, pourrait avoir des répercussions très graves. Le Premier Ministre malien n’a-t-il pas mesurer la gravité de son acte devant les Nations du Monde réunies à l’ONU ? Pour nous jeunes socialistes du Niger dont les valeurs cardinales du respect mutuel ont toujours guidé nos actions, nous demandons instamment aux autorités de transition militaire au Mali de présenter leurs excuses officielles au peuple nigérien pour cet acte déplacé d’un personnage qui visiblement n’a aucune vision futuriste pour son pays. Il est indéniable que le peuple malien pour lequel il pense agir ne pourra jamais cautionner cette insulte au peuple nigérien. Le Président nigérien Mohamed Bazoum n’est pas seul dans ce combat pour le respect de notre pays. Tous les socialistes doivent se lever comme un seul homme pour demander le respect de notre pays par les militaires maliens. C’est inadmissible que des individus du genre de Abdoulaye Maiga soient laissés intervenir dans les grandes rencontres pour éviter des précédents diplomatiques dangereux pour la paix et la stabilité de notre sous-région.
Vive le Niger
Vive l’ONU
Vive la CEDEAO
Kané Kadaouré Habibou
77ème session de l’AG de l’Organisation des N.U.
Le #discours du PM malien est un #fiasco !!!
Avant d’entrer dans le vif du sujet, je tiens de manière préambulaire à supposer que le pupitre du siège des Nations Unies n’est un vulgaire meuble sur lequel on se tient pour parler de personnes, c’est plutôt un insigne perchoir où sont discutées en grand format les questions majeures impliquant les Nations du monde.
- Les Autorités Maliennes de transition doivent faire attention à ne pas s’instituer en donneurs de leçons au monde entier, à cause bien sûr du soutien aveugle que leur témoigne la jeunesse africaine.
- Le fond de son intervention ne présente pas un agenda propre aux Autorités Maliennes mais plutôt une série de réponses mal données aux manigances, manœuvres et provocations émises par leurs adversaires qui ont un but bien déterminé.
- Comme tous les intervenants issus des pays africains, le PM #Abdoulaye_Maiga a axé son allocution sur les conflits armés et les problèmes d’élection, comme si l’Afrique n’a rien d’autre à faire que de se déchirer autour des questions de leadership et de gestion du pouvoir d’Etat.
- Le PM malien s’est trompé de cible, il caresse et courtise leur vrai challenger qui est le Président Allassane OUATTARA, en le traitant de sage et de grand frère malgré que celui-ci et son Gouvernement les ont qualifié de <preneurs d’otage> tout récemment, d’où une colossale erreur de guère diplomatique.
- S.E. Le Président Mohamed Bazoum, le Ministre #Hassoumi, certes ils ont de façon récurrente chargé les Autorités Maliennes sur leur nature militariste et putschiste mais jamais à travers une invective à l’échelle individuelle et surtout dégradante humainement parlant ; de ce fait, traiter un Président de la République d’un pays voisin <d’étranger> est une option d’attaque à consonance enfantine.
Enfin, je rappelle à toutes et tous, que même l’opposition politique nigérienne n’a jamais traité le Président #BAZOUM d’étranger tout court. Nous avions un moment, estimer qu’il n’était pas <nigérien d’origine>, ce qui est radicalement différent d’étranger, parce que initialement tout le monde à un ancêtre venant d’autres cieux.
Ces attitudes contorsionnistes ne sont pas à encourager par la jeunesse africaine. La révolution ne signifie pas la désinvolture, ce n’est pas non plus le droit à la raison de manière universelle.
Dr Aghali ABDOULKADER
La soldatesque irresponsable
En lisant les propos tenus par le premier ministre malien par intérim à l’auguste tribune des nations unies, ce personnage arrivé par effraction à la primature suite à un subtil écartement d’un autre maiga, tout autant exubérant et outrancier, sur la nigerienneté de Son Excellence le Président Bazoum Mohamed, je ne pus m’empêcher de penser à la mise en scène orchestrée par un certain Barnum pour se donner de la notoriété
» Barnum, numéro un du show-business américain au XIXe siècle, commença sa carrière en qualité d’assistant d’un propriétaire du cirque, Aaron Turner. En 1836, le cirque fit halte à Annapolis, dans le Maryland, pour une série de représentations. Le matin du premier jour, Barnum alla faire un tour en ville, tout de noir vêtu. Des gens se mirent à le suivre. Quelqu’un le prit pour le célèbre révérend Ephraim K. Avery, jugé pour meurtre et acquitté alors que la plupart des Américains le croyaient coupable. L’homme se mit à crier, la foule voulut lyncher Barnum ; à force de supplications, celui-ci finit par convaincre la populace de le suivre au cirque, où il pourrait prouver son identité. Une fois sur place, le vieux Turner confirma que c’était une blague : il avait lui-même fait courir la rumeur que Barnum était Avery. La foule se dispersa; Barnum, lui, qui avait failli y laisser la peau, riait jaune. Il voulut savoir ce qui avait poussé son patron à lancer ce canular. 《Mon cher Barnum, répliqua Turner, c’est pour notre bien. Souvenez-vous : tout ce dont nous avons besoin pour réussir, c’est de notoriété. 》Et en effet, tout le monde en ville parla de l’affaire, et le cirque fit salle comble tous les soirs. Barnum avait appris là une leçon qu’il ne devait jamais oublier. « R. Greene. En effet, Barnum, durant toute sa vie va imaginer des scènes et des situations grossières et grotesques pour se donner de la notoriété.
J’ai rapporté cette histoire pour faire un parallélisme entre le comportement de Barnum et celui de Maiga, le premier Ministre par intérim du Mali. En effet, en choisissant la prestigieuse tribune des Nations unies pour s’en prendre au président du Niger, un État souverain qui n’est pas en conflit avec l’Etat frère du Mali, maiga l’intérimaire immature, l’officier effacé, plus loquace que guerrier, raffolant des discours fleuves, creux ,agressifs et abscons vise sûrement à se donner une notoriété, en polarisant l’attention sur lui. En effet, s’attaquer au Président Bazoum Mohamed est très osé pour passer inaperçu. D’abord le moment de l’insulte est bien choisi. Le Barnum malien a choisi ce moment où l’étoile internationale du président Bazoum Mohamed est au summum de son rayonnement mondial, au pic de son déploiement. Présent aux États- Unis où il était sollicité par les grands think tank du monde intellectuel américain, par les grands leaders du monde politique, économique, sécuritaire, le moment est propice pour l’intérimaire de faire preuve de « volonté réactive » pour s’attirer les regards et la notoriété. Peu importe les ravages diplomatiques et politiques que cela pourrait engendrer, ce qui compte pour lui c’est sa propre notoriété. Ce qui compte pour le premier Ministre par intérim du Mali c’est de s’attaquer à plus fort et plus élevé que lui. Et le président Bazoum Mohamed du Niger ne loge pas à la même enseigne que lui. Évidemment, s’agit là d’une turpitude inadmissible.
En évoquant la nigerienneté du président du Niger pour la nier, il a dérapé grossièrement. Et aujourd’hui, ce que ce premier ministre imprudent et belliqueux ignore c’est que même les apatrides nigériens qui ont fabriqué et chanté ces fadaises le temps de la campagne électorale passée sont revenus à la réalité et à la raison, faisant implicitement et discrètement leur mea-culpa pour les maux destructeurs et nauséabonds causés au peuple nigérien tout entier.
Sûrement que notre maiga, faisant ses premiers pas dans la gestion des plus hautes affaires de l’état, tel un bambin apprenant à marcher, a perdu le sens de la responsabilité sous la « tyrannie de l’émotion » et de la démesure verbale.
Le Mali a beaucoup de défis. Plus de 2/3 du pays sont sous la gouvernance des groupes armés, terroristes et non terroristes. Si notre premier ministre par intérim est rationnel et chevaleresque c’est à cela qu’il devra s’attaquer et non à la nationalité d’un président d’un autre pays. Notre Tigre malien devra montrer sa tigritude sur le terrain en libérant son pays des hordes armées qui l’ont saigné à mort et l’ont mis à genoux sur tous les plans. Le Niger n’est pas l’ennemi du Mali. Le président Bazoum Mohamed, tout comme son prédécesseur Issoufou, a beaucoup fait pour le pays frère du Mali, pour ses populations réfugiées sur le sol nigérien présentement et cela depuis 2012. Le Niger mérite le respect, le président Bazoum Mohamed mérite le respect des autorités maliennes, des responsables du Mali. Pour finir, je cite Lao Tseu: » celui qui croit en lui, n’a pas besoin de convaincre les autres « Telle est l’attitude de Son Excellence le président Bazoum Mohamed.
Moussa Tchangari
Au Mali, la France n’aura réussi finalement que deux choses : consacrer la partition de fait du pays et légitimer les militaires qui ont court-circuité l’élan du mouvement populaire et récupéré sa rhétorique anti-impérialiste. Les militaires maliens sont devenus des héros aux yeux de nombreux africains; et nombre de ceux qui, des décennies avant eux, étaient sur les remparts, sont à présent inaudibles. La France n’est donc pas encore en échec total au Mali ; puisque le pays est toujours divisé et les colonels eux-mêmes n’osent pas envisager, en tout cas pour l’instant, le démantèlement des enclaves qu’elle a créées. Le discours du colonel Abdoulaye Maiga à la tribune des Nations unies n’est pas celui d’un régime sûr de lui-même ; il est plutôt l’expression de la psychose et des craintes, légitimes à bien d’égards, qui incitent les tenants du pouvoir à Bamako à jouer leur va-tout.
Iro Sani
Le peuple nigérien est un grand peuple ; il a toujours voulu le bonheur et la sécurité du grand peuple frère du Mali. Pour preuve dans les années 70, la famine sévissait au Mali, spontanément les dirigeants nigériens ont dépêché des cargaisons entières de vivres destinés à soutenir le peuple malien!! Quand en 2011 les djihadistes ont failli prendre le pouvoir a Bamako, spontanément le Président nigérien de l’époque a usé de son influence auprès des dirigeants français pour que ces derniers stoppent nette l’avancée des terroristes!! Quand il fallait envoyer un contingent militaire pour stabiliser le Mali, les dirigeants nigériens n’ont pas hésité une seule minute à envoyer des militaires nigériens pour secourir et protéger le peuple malien ; nombreux sommes nous nigériens dont des parents proches ont perdu la vie dans cette entreprise! Il a suffit que des zozo irresponsables arrivent au pouvoir au Mali pour qu’ils balaient d’un revers de main toute cette riche histoire et se mettent à payer les nigériens en monnaie de singe au risque de compromettre les liens séculaires de fraternité tissés entre les deux peuples!! Les nigériens et les maliens ne les laisseront pas faire !! Le peuple malien héroïque saura de départir des griffes de ces aventuriers faussement panafricanistes et véritablement prédateurs et prébendiers !!!
Farmo Moumouni
Mécanique des insultes
Hier j’abordais la question de l’insulte sous l’angle de l’ironie et de la morale, et j’illustrais mon propos par une fable. En parlant des relations entre le Niger et le Mali, je n’entendais point les peuples, mais les gouvernements, et à l’intérieur de ceux-ci, les hommes. Aujourd’hui, j’aborde la question sous l’angle de la logique. Des nombreuses réactions que j’ai observées, se dégage un principe : un homme qui se sent insulté ou qui considère que son pays est insulté, insulte à son tour. Ainsi, les insulteurs nigériens du Premier ministre malien, le prennent à parti parce qu’ils considèrent que ses propos sont insultants envers eux ou envers leur pays, le Niger.
Or, tout Premier ministre qu’il est, Maiga Abdoulaye demeure un homme, comme ses insulteurs. En cette qualité et en vertu du principe dégagé plus haut, il insulte quand il se sent insulté ou quand il considère que son pays, le Mali est insulté.
Si donc les propos du Premier ministre malien constituent une insulte, c’est qu’ils répondent à des propos considérés comme insultants pour son pays ou pour lui-même. De la même manière, aux propos du Premier ministre qui constituent une insulte à leurs yeux, les Nigériens répondent par l’insulte. Il y a là un équilibre des insultes.
Les insulteurs de tout bord doivent savoir – à leurs dépens – que l’insulte est un fluide, et qu’en mécanique des fluides : « le principe des vases communicants établit qu’un liquide homogène remplissant plusieurs récipients reliés entre eux à la base et soumis à la même pression atmosphérique, s’équilibre à la même hauteur dans chacun d’eux. Ceci est vrai quels que soient leur forme et leur volume »
Considérons que les récipients sont des individus, qu’ils sont reliés entre eux à la base par la même humanité, que la pression atmosphérique à laquelle ils sont soumis est ici l’amour-propre, et que l’équilibre à la même hauteur en chacun d’eux, représente la réciprocité des insultes. Tel est le principe des vases communicants en mécanique des insultes.
Boubacar Seyni Gagara
Le Président Bazoum a été élu démocratiquement et il a succédé démocratiquement à un autre président tout aussi démocratiquement élu par le GRAND PEUPLE DU NIGER.
Le pâteux PM de Goîta a prouvé à la face du monde que son intelligence est à la mesure de sa façon même de s’exprimer.
Si les transhumants maliens veulent se comparer au Président Bazoum, nous les defions d’organiser des élections libres et transparentes et qu’ils attendent voir comment les maliens que je connais panafrianistes et antiracistes, réagiront dans les urnes.
Le président Bazoum n’est pas venu en politique par effraction. Il a été auparavant élu 5 fois députés et plusieurs fois ministres dans différents gouvernements depuis 1993. Le Niger est derrière son président.
KOSSEY SANDA
Pauvre colonel/coronelle !
La coronelle, même si elle n’est pas venimeuse, elle a une morsure qui blesse et laisse des cicatrices. C’est l’équivalent des mots blessant et haineux tenus par les hommes. Le colonel/coronelle n’a fait que cracher sa haine sur le Niger et son peuple en s’en prenant à son président Mohamed Bazoum, allant jusqu’à dire qu’il n’est pas nigérien. Qu’il nous dise alors quelles seraient aujourd’hui les limites de l’empire du Mandingue sans l’intervention de la colonisation. Le Mali existe t-il juridiquement avant l’arrivée des colons ou même avant son indépendance? Les populations qui habitent actuellement le Mali sont elles les mêmes depuis toujours ? Le président Bazoum a été élu comme président de la république du Niger. A ce que je sache, il n’a pas été élu par des maliens, quand même. La diatribe du colonel/coronelle n’est rien d’autre qu’un discours xénophobe qui illustre bien les problémes actuels du Mali dont celui du communautarisme meurtrier entretenu et attisé justement par la façon manichéenne de procéder de cette junte. Mais que le colonel/coronelle sache que le président Bazoum n’a pas cette conception des choses ni dans son pays ni dans les relations entre pays surtout lorsqu’ils sont voisins donc forcément imbriqués à travers leur population. Cependant, malgré la gravité, la vulgarité et la façon pleutre dont il a tenu ces propos, du reste orduriers, indigne d’une personne lucide, vous autres, comprenez-le. Ce qu’il a dit à la tribune des nations unies, est à son image et à celle des autres membres de la junte militaire malienne, tout simplement. Cela en dit long sur les difficultés auxquelles sont confrontés nos frères maliens notamment la façon calamiteuse par laquelle la junte dirige ce pays et qui n’a fait qu’aggraver le drame que vit le pays d’IBK (Paix à son âme) depuis une décennie. Dans son tract, il n’a fait que s’en prendre aux dirigeants des autres pays du monde comme si en procédant ainsi, cela résoudrait les problèmes dans lesquels est empêtré le Mali. Qu’il sache que les autres pays qu’il accuse de complot ne peuvent leur servir éternellement de souffre douleur pour cacher l’incapacité de la junte à juguler la crise sécuritaire pour laquelle elle dit avoir fait son coup d’Éclat. En fait, il n’a fait qu’exposer son ignorance et son indignité. Ayez pitié de lui ainsi que des maliens qui sont dirigés par ce genre d’individu.
En effet, il est si minable que dans la lecture de son tract dont il a eu de la peine à le faire d’ailleurs, qu’il ne pouvait même pas respecter la ponctuation du texte;
Il est si nul qu’il ignore tout de l’histoire des peuples et les règles minimales de la diplomatie ainsi que de la géopolitique;
Il est si médiocre qu’il oublie que le Niger dispose d’un bataillon entier soit 600 hommes à Assango pour protéger le Mali et que des soldats nigeriens y sont mort;
Il est si amnésique, qu’il oublie que le Niger abrite des milliers de réfugiés maliens depuis 2012 et les traite avec beaucoup d’affection ;
Il est si bête qu’il ignore que le Mali n’a rien à offrir au Niger si ce n’est l’exportation du terrorisme alors que c’est le Niger qui ravitaille son pays en produits pétroliers;
Il est si faux qu’il fait croire aux gens que la situation sécuritaire du Mali est aujourd’hui meilleure que celle d’avant leur coup d’État alors que les terroristes ne font que gagner du terrain;
Il est si idiot qu’il pense que les autres ne comprennent pas que leur jeu empreint de discours haineux envers les autres nations, ne consiste en réalité qu’à masquer l’échec patent de la junte militaire à restaurer la paix et la sécurité; le prétexte qu’elle a avancé pour perpétrer son coup d’État;
Il est si incohérent qu’alors qu’il dit être anti français, il cite Victor Hugo avant Hampaté Bā;
Son discours ainsi que celui des autres membres de la junte militaire est si manipulateur que certains maliens sont à la limite du suicide collectif en demandant le départ de la MINUSMA ;
Monsieur le « colonel/coronelle » de salon :
Souffre que le Niger continue d’engranger des succès sur tous les plans, social, économique, diplomatique, sécuritaire et que son économie sera la plus dynamique avec la plus forte croissance économique de l’Afrique en 2022;
Souffre que Niger bien que ceinturé par des foyers de conflits armés, n’a pas un seul mètre carré de son territoire occupé par les terroristes alors qu’au Mali ces derniers en contrôlent plus des 2/3;
Souffre qu’au Niger il n’y a pas de massacre à grande échelle de civils dû à des conflits intercommunautaires;
Souffre qu’au Niger notre budget de la défense est destiné à équiper nos militaires et non à payer les services et les caprices des mercenaires à la philosophie douteuse et à la renommée sulfureuse;
Souffre que le président Bazoum a été démocratiquement élu par le peuple nigérien alors que votre pouvoir n’est que le résultat d’un coup de force..
Que Dieu libère le Mali de l’emprise des terroristes et le délivre des griffes de ces individus (membres de la junte) à la vision rétrograde.
Rassemblés par EMS