Photo à la Une : Mohamed Bazoum à Guidan Roumji

Tournée de proximité : Mohamed Bazoum poursuit sa randonnée dans le Gobir et Katsina

C’est avec enthousiasme et sérénité que le leader du PNDS Tarayya poursuit sa tournée de proximité pour le second round dans le Gobir-Katsina. Tibiri, Dan Issa, Madarounfa, Gabi, Djiratawa, Guidan Sori, Guidan Roumji, Chadakori et bien d’autres localités recevront Mohamed Bazoum et la délégation qui l’accompagne notamment les leaders de la Coordination de Maradi dirigé par l’apparatchik Kalla Ankourao.

En effet, c’est le lundi 5 octobre dernier que Mohamed Bazoum a entrepris de parachever sa visite de proximité dans la région de Maradi. Le leader du PNDS Tarayya n’a pas pu se rendre l’autre fois dans des agglomérations comme Gazaoua, Madarounfa et Guidan Roumji.

Partout où Mohamed Bazoum est passé, les maradaouas confirment véritablement que le Maradi est désormais sans conteste un autre fief du PNDS Tarayya. La marée rose observée partout à Maradi augure une victoire éclatante du candidat du parti rose.

Au moment où certains outsiders glissent dans l’indécence pour médire et dénigrer le candidat qui a le vent en poupe, les populations de Maradi clament ‘’Sai Bazoum après Issoufou’’.

Cette assertion des populations de Maradi n’est que la traduction de leur gratitude face aux promesses tenues avec les réalisations concrètes en termes de salles de classes, les routes, dans le domaine sécuritaire et bien d’autres résultats du Programme de la Renaissance.

Le président du Comité exécutif national (CEN), Mohamed Bazoum a partout déclaré qu’il se réserve jusqu’au moment de la campagne proprement dit pour revenir décliner les axes de son Programme de gouvernance.

Pour le moment Mohamed Bazoum poursuit avec détermination sa visite de proximité à travers laquelle, tour à tour, les populations font montre d’une adhésion totale au PNDS Tarayya et à son leader. Tout se passe comme si les adversaires de Bazoum font campagne pour lui au regard des bains de foule constatés çà et là. Qui vivra verra !

Abdoul Aziz Moussa, envoyé spécial