Sectes et sociétés secrètes

Ce texte de Me Ahmed Simozrag renseigne et sensibilise sur les sectes et sociétés secrètes. C’est un véritable travail d’investigation abattu par l’auteur pour faire comprendre les enjeux et les dangers du phénomène. Me Ahmed Simozrag est avocat de formation. Il fut l’avocat du FILS (Front islamique du salut) algérien. Il fut déporté de la France au Burkina Faso où il vit actuellement en résidence surveillée. Il a mis cette vie de réclusion, si on ose dire, à profit pour servir l’islam et les musulmans à travers conférences et livres édités au niveau du CADIS, un cercle de réflexion et d’édition islamiques qu’il a fondé. Ce texte publié par le journal As-salam et repris ici par Niger Inter est d’ailleurs le support d’une de ses nombreuses conférences animées dans le cadre des activités du CADIS.

1-Définition :

Les sectes et les sociétés secrètes sont des entités qui se ressemblent, ayant quasiment les mêmes caractéristiques. La seule différence : la secte est souvent issue d’une dissidence, d’une scission par rapport à une communauté religieuse, contrairement à la société secrète.
Une secte se définit comme étant un groupe religieux dont les pratiques et les croyances diffèrent de celles des communautés auxquelles elles sont censées appartenir.

Quant à la société secrète, c’est une organisation qui ne révèle pas ses activités aux personnes qui lui sont étrangères ni aux médias.

Les sociétés secrètes préfèrent œuvrer dans l’ombre en raison de l’inconvenance ou du caractère anormal de leurs activités et/ou du but poursuivi.

Les sociétés secrètes sont perçues quelquefois comme des sectes religieuses ou philosophiques qui imposent une sévère discipline aux initiés en plus des rites destinés à les purifier. Ce sont des organisations ambivalentes.
En certaines occasions, les sociétés secrètes sont vues comme des groupes criminels, des organisations politiques séditieuses, des associations économiques clandestines, des mouvements révolutionnaires. En d’autres occasions, elles sont considérées comme des organismes de bienfaisance, voués à l’entraide, au soutien, à la fraternité, aux bonnes œuvres, etc.

Généralement, toutes les sociétés secrètes, quelles que soient leurs motivations et la nature de leurs activités, ont leurs propres rituels, leurs propres serments, leurs propres coutumes et leur propre langage secret.

« Toutes adoptent des signes de reconnaissance, des mots de passe, des chants cadencés […] et elles entretiennent souvent une hiérarchie complexe. Toutes organisent des cérémonies capables de séparer le néophyte du membre de longue date ou le profane de l’élu. Toutes s’identifient à certains principes moraux et à des croyances qui les distinguent de celles qui les entourent et qui leur sont par conséquent étrangères ou subordonnées. Toutes donnent un sens sacré à leur existence »

« Elles sont derrière tous les gouvernements de la terre et sont à l’origine de leurs idéologies… Aucun gouvernement du monde n’échappe à leur emprise ».

1.1 Origines : Depuis la Grèce antique et l’Egypte des Pharaons

1.2 Motivations et objectifs :

Les buts supposés de ces sociétés sont fréquemment d’ordre politique : changer le monde, instaurer le gouvernement mondial.

Les buts peuvent être également criminels :

-l’argent comme la ou les mafia.
-révolutionnaire comme le Comité secret d’Action révolutionnaire (CSAR), plus communément appelé la Cagoule, créé dans les années 1930 par d’anciens membres de l’Action française pour mener un coup d’Etat (avorté) contre le gouvernement de Front populaire de Léon Blum.
-mystiques comme l’Opus Dei.
-d’apparence humanitaires, philanthropiques comme la franc-maçonnerie

En ce qui concerne les sectes ; les buts peuvent être sataniques, mystiques, scissionnistes, matériels, le leadership, l’incompréhension de textes sacrés, l’idée de doctrine sacrée ( Jean-Pierre Laurant). La démarche des courants ésotériques, les Ecritures recèlent un sens caché qui n’est accessible qu’à une certaine élite, la lecture ésotérique donne lieu à la création de sectes.

1.3 Moyens :

Les moyens tournent toujours autour de la violence, des meurtres, des intrigues politiques, du sexe, de la drogue et des rituels magiques.

1.4 Méfiance :

Historiquement, les sociétés secrètes ont souvent fait l’objet de suspicions de la part du public et se sont ainsi entourées d’un climat de méfiance. Plusieurs d’entre elles ont été déclarées illégales. Ainsi, la Pologne par exemple a choisi, dans sa constitution, d’interdire ces sociétés au même titre que les organisations politiques extrémistes (Source : Wikipedia).

2- Présentation de sociétés secrètes

2.1 Les organisations mafieuses italiennes :

la Camorra (en Campanie : Naples),
la Cosa Nostra (en Sicile),
la ‘Ndrangheta (en Calabre),
la Sacra Corona Unita (dans les Pouilles),
la Stidda (en Sicile),
les Basilischi (en Basilicate),

Les organisations criminelles considérées comme des mafias stricto sensu par les criminologues sont, outre les mafias italiennes, les Triades chinoises, les Boryokudan japonais (dont les membres sont appelés « Yakuza »), la mafia italo-américaine, la « Mafiya » russe, la « Maffya » turque et la mafia albano-kosovare.

2.2 Le groupe Bilderberg

Le groupe Bilderberg ou conférence de Bilderberg, ou encore Club Bilderberg est un rassemblement annuel et non-officiel d’environ 130 membres, dont la plupart sont des personnes d’influence dans les domaines des affaires, des média et de la politique. Les participants sont essentiellement américains ou européens.

« L’idée de la création de ce groupement date de 1952. Depuis 1954, cette conférence réunit sur invitation environ 130 personnalités diverses issues du milieu des affaires, des études académiques ou politiques de différents pays. Ses membres, des hommes politiques, des industriels, des banquiers, et des journalistes, s’appellent eux-mêmes les « Bilderbergers » ou « groupe Bilderberg ». Dans ce contexte, aucune source n’étant réellement vérifiable. Les réunions du groupe ont un caractère très confidentiel, qui rend impossible toute médiatisation.

« Parmi les reproches émis à l’encontre de ce groupement, on notera la crainte de voir une structure collégiale abritant un petit nombre de personnes influentes et puissantes prendre des décisions importantes en économie ou en politique sans aucun contrôle démocratique par des tiers. Le groupe Bilderberg demeure toujours aujourd’hui l’un des dossiers du conspirationnisme.

Depuis la chute de l’empire soviétique, on reproche notamment à ce puissant lobby l’orchestration de la mondialisation économique.
La première réunion se serait tenue en mai 1954 à l’hôtel Bilderberg à Oosterbeek (Pays-Bas), d’où son nom. On compte parmi ses membres fondateurs le Prince Bernhard des Pays-Bas, Denis Healey, Joseph Retinger, David Rockefeller, mais aussi Jozef Luns (ex-secrétaire général de l’OTAN) et Paul Van Zeeland (ex-premier ministre belge et banquier). Le groupe possède des bureaux à Leyde aux Pays-Bas. » (Source : Wikipedia)

2.3 Les Illuminati :

Les illuminati est une organisation agissant dans l’ombre du pouvoir, supposée conspiratrice, contrôlant les affaires du monde au travers des gouvernements et des grandes multinationales et visant à l’établissement du Nouvel ordre mondial.
…. Les théoriciens conspirationnistes mettent l’accent sur le lien entre les Illuminati et la franc-maçonnerie. Une autre hypothèse insinue que les Pères fondateurs des États-Unis – dont certains étaient francs-maçons – étaient corrompus par les Illuminati.

Les Illuminati après 1790

Le billet de un dollar représente une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’œil de la conscience et domine une base aveugle. En dessous sont inscrites les devises suivantes : Annuit cœptis (Il a favorisé ce que nous avons entrepris) et Novus Ordo Seclorum (Nouvel ordre séculier (pour laïc) et non pas mondial comme on le traduit souvent). Ces symboles du grand-sceau des États-Unis sont cités comme exemples de l’omniprésence des Illuminati qui suivent d’un œil attentif les Américains. Il peut s’agir également de l’œil unique de l’Antéchrist (le Dajjal ou faux Messie). L’inscription (MDCCLXXVI) à la base de la pyramide correspond à la valeur 1776 dans le système de représentation des nombres chez les Romains, année de la Déclaration d’indépendance des États-Unis d’Amérique, mais également celle de la fondation par Adam Weishaupt des Illuminés de Bavière.

Le triangle représente la croyance chrétienne dans la Trinité.
Quant à la pyramide non terminée, elle représente la nouvelle et forte nation des États-Unis, conçue pour durer des siècles à l’instar des fameuses pyramides d’Égypte. Elle comporte 13 rangées de pierres, représentant les 13 colonies d’origine, sous l’image de Dieu qui veille sur elles.
On verra plus loin la pyramide et l’œil comme symboles de la franc-maçonnerie.

Aujourd’hui, la dénomination illuminati est souvent utilisée aux États-Unis dans les théories du complot pour désigner les conspirateurs du « nouvel ordre mondial ». Il constitue en soi un terme générique pour désigner le noyau dur des « maîtres du monde » inconnus et lier entre elles différentes hypothèses conspiratrices pour unifier diverses théories en une théorie du complot à long terme pour le contrôle total.
Dans ce cadre, le terme illuminati peut survenir lorsqu’une théorie dérive vers des spéculations invérifiables, et prend le relais des théories visant des organismes connus tels que le conseil des relations étrangères (CFR), le Groupe de Bilderberg, la Commission Trilatérale, les Skull and Bones, le Bohemian Club, etc.

2.4 Le Ku Klux Klan

Le Ku Klux Klan (appelé souvent par son sigle KKK ou également le Klan),
Le nom « Ku Klux Klan » vient du mot grec kuklos, qui signifie cercle.
Le Ku Klux Klan, fondé le 24 décembre 1865, est une organisation suprématiste blanche protestante des États-Unis d’Amérique. Classée à l’extrême droite sur l’échiquier politique américain, elle n’a cependant jamais été un parti politique, mais plutôt une organisation de défense ou de lobbying des intérêts et des préjugés des éléments traditionalistes et xénophobes de certains Blancs protestants, les White Anglo-Saxon Protestant (WASP) en tant que communauté « ethnico-religieuse ».

Le Ku Klux Klan prône la suprématie de la « race blanche » sur les autres « races » — Noirs (descendants des anciens esclaves), Asiatiques (immigrés chinois et japonais), Hispaniques (Mexicains, Cubains, Portoricains et d’autres peuples issus d’Amérique latine), Européens orientaux (Russes, Yougoslaves musulmans ou chrétiens, Ukrainiens, etc.) —, ainsi que généralement l’antisémitisme, l’anticatholicisme romain (ici sont surtout visés, à l’origine du moins, les immigrés d’obédience papiste : Polonais, Italiens, Irlandais) et l’homophobie. Il est d’abord conservateur et xénophobe. Dans une large mesure, il est aussi très anti-centraliste (très hostile à ce qu’il considère comme des empiètements des autorités fédérales sur les droits des États et plutôt isolationniste en politique étrangère) (Source : Wikipedia).

2.5 La Triade

La Triade est une société secrète chinoise.
En Chine, les sociétés secrètes fonctionnaient comme des syndicats souvent contrôlés par des patrons. Celui qui refusait de devenir membre ne pouvait guère espérer trouver un emploi.

La Triade originelle était une société secrète née en opposition à la dynastie mandchoue des Qing à la fin du XVIIe siècle. Ses fondateurs étaient des moines du monastère de Shaolin, où le kung-fu a été inventé et enseigné

En 1949, les communistes les déclarent hors-la-loi. Elles fuient alors la Chine populaire pour s’installer à Hong Kong, Macao ou Taiwan. Toute leur activité se centre alors autour du crime organisé.
Bien évidemment, les triades sont au cœur du trafic de drogue en provenance du Triangle d’or. Cette région, située à cheval sur le Laos, la Thaïlande et la Birmanie, produit chaque année la moitié du volume mondial d’opium et de ses dérivés dont principalement l’héroïne.

Le rattachement de Hong Kong à la Chine en 1997 a soulevé quelques inquiétudes chez les dirigeants mafieux. Cependant, le gouvernement chinois témoigne d’une étrange mansuétude à l’égard des triades. Ces groupes très riches réinvestissent une large part de leur argent sale sous forme d’investissements en Chine. Ainsi, le ministre de la Sécurité publique chinois d’alors, Tao Siju, a déclaré en 1995 que « les membres des triades ne sont pas tous des gangsters. S’ils sont de bons patriotes, s’ils assurent la prospérité de Hong Kong, nous devons les respecter. » Il a même affirmé que « le gouvernement chinois est heureux de s’unir à eux.».

2.6 Les yakuzas

Les yakuzas sont les membres d’un groupe du crime organisé au Japon. Ces derniers sont représentés par quatre principaux syndicats, présents sur tout l’archipel, et possèdent également des ramifications dans la zone Pacifique, et même en Allemagne et aux États-Unis. Ils seraient plus de 84 700.
L’occupation du Japon par les Américains suite à la défaite lors de la Seconde guerre mondiale a été une aubaine pour les yakuzas.

Des trafics s’organisent alors avec les dizaines de milliers de soldats de la force d’occupation, notamment en drogues. Les yakuzas s’occupent de la prostitution, devenue illégale. Ils profitent également du chaos généralisé pour s’approprier des terrains en toute illégalité, dans les villes où les plans cadastraux ont brûlé. En parallèle, les Coréens et les Taïwanais, utilisés comme main d’œuvre durant la guerre sur le territoire du Japon, retrouvent la liberté. Les mafias de leurs pays d’origine tentent donc de s’installer au Japon, et de prendre le contrôle du fructueux marché noir.
L’après-guerre voit également l’apparition d’une nouvelle criminalité, en parallèle de la pègre traditionnelle datant d’avant-guerre, et ayant encore une partie de ses traditions
Entre 1958 et 1963, les yakuzas accroissent leurs effectifs de 150 % pour atteindre à leur apogée, un total d’environ 184 000 yakuzas, répartis dans 126 gangs.
L’organisation compte alors plus de membres que l’armée japonaise elle-même. Des clans se forment et des guerres éclatent pour le partage de territoires.

2.7 Les sociétés secrètes africaines

Les sociétés secrètes en Afrique exercent en étroite collaboration avec le pouvoir. Elles utilisent la magie et les Djinns pour assurer aux hauts dirigeants protection et maintien au pouvoir.
En Afrique, la plupart des partis politiques sont infiltrés par des agents de sociétés secrètes.
Certains partis politiques en Afrique se sont constitués autour de sociétés secrètes traditionnelles avant et après l’indépendance, c’est le cas par exemple au Nigeria et en Côte d’Ivoire. De nos jours plusieurs pays africains sont gouvernés par des clubs fermés qui sont de véritables sociétés secrètes souvent soudées par l’appartenance à la franc-maçonnerie ou à l’une de ses branches : la Rose-Croix. Ce qui explique certaines longues carrières ministérielles.

Le masque est une tradition des sociétés secrètes dont les membres initiés sont inconnus des autres membres de la société. Ils n’apparaissent en public que cachés sous des masques.

Chaque ethnie a sa propre société secrète. Les Sénoufos ont la leur : Poro.
Les Sénoufos sont présents au Mali, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso et au Ghana. On estime leur population à environ 1,5 million.

Le Poro a pour mission de garantir une bonne relation entre le monde des vivants et les ancêtres. Cette société est responsable du maintien des traditions et de l’ordre dans les villes et les villages, ce qui revient à dire dans tout le pays.

Dans l’Afrique précoloniale, les sociétés secrètes criminelles sont nombreuses : hommes-lions, hommes-caïmans, hommes-léopards….
Ces structures, assimilées à des sectes, jouaient le rôle de structures judiciaires aux mains des chefs et des sorciers. Tous les différends se réglaient par leur intermédiaire.

La pratique de la vengeance rituelle a duré officiellement jusqu’au début des années 1950. Mais, des faits similaires ont été rapportés en 1964 dans une région du Congo-Brazzaville.

Les Bayakas, une ethnie qui vit dans la forêt, croient que l’être humain est constitué d’un corps, d’une âme et d’un double, c’est-à-dire d’un esprit. Celui-ci survit à la mort du corps et de l’âme et peut aller habiter n’importe quelle autre créature vivante.

Mais, lorsqu’il veut se venger, c’est en général la forme d’une panthère qu’il revêt. On comprend comment les sociétés secrètes à vocation criminelle ont su profiter de ces croyances.

Ces mêmes sociétés avaient un fétiche redoutable : une marmite, qu’ils appelaient également panthère.

La marmite contenait des feuilles imbibées de sang des victimes humaines qu’on y avait fait cuire pour les manger. Et la marmite était sensée posséder des pouvoirs magiques. Chaque chef d’un groupe d’hommes-léopards en possédait une et veillait à accroître régulièrement la prétendue puissance de son fétiche.

Chaque nouvel initié ne pouvait voir cette marmite qu’en échange d’une victime. Pour être membre à part entière, il fallait « faire bouillir la marmite ».
La victime était ligotée avant qu’on lui coupe la gorge. Le sang était recueilli dans la marmite et distribué à l’assistance.
La cérémonie se terminait par un festin au cours duquel on dévorait à moitié cuits, la langue, le cœur, le foie, les poumons et le bras droit du supplicié.

Les Aniotas ou anioto ou encore anyoto et dit aussi hommes-léopards sont une société secrète africaine criminelle avec une base de religiosité animiste, réputée recruter ses cadres parmi les sorciers villageois sans pour autant revêtir la structure hiérarchisée d’une secte, actifs autrefois au Congo belge, dans la région des Babali du Haut Aruwimi et pratiquant l’assassinat rituel en simulant une attaque de léopard ou de panthère dont la motivation première serait la vengeance.

Avant de passer à la rubrique des sectes, disons un mot sur la franc-maçonnerie laquelle se trouve à la lisière entre les sectes et les sociétés secrètes.

2.8 La franc-maçonnerie est à la fois une secte et une société secrète

Les origines de la FM remontent au temps de Salomon

En apparence, l’organisation affiche des objectifs humanitaires visant à promouvoir la paix, l’amour entre les hommes, le bien et le progrès de l’humanité. La fameuse devise de la république française : liberté, égalité, fraternité est d’origine maçonnique. Cet idéal philanthropique lui a permis d’étendre son influence partout dans le monde et de gagner la sympathie d’un nombre considérable de hautes personnalités notamment en occident.

Mais au fond son but véritable consiste à préparer l’avènement du gouvernement juif mondial lequel, selon les enseignements du Talmud, interviendrait en un temps de crises et de déliquescence généralisée. Dans le souci de contribuer à la création des conditions de cet événement, la secte s’emploie à détruire la religion et la morale. D’où l’anarchisme, le paganisme, le communisme, la laïcité, le culte de la raison, bref, tous ces systèmes immoraux et libertaires sont inventés par des juifs franc-maçons

2.8.1 LA PYRAMIDE SOUS L’ŒIL

Le symbole maçon le plus célèbre apparaît sur le sceau des Etats-Unis, ainsi que sur le billet d’un dollar. Sur ce sceau est représentée une demi-pyramide sur laquelle trône un œil dans un triangle. Cet œil dans ce triangle est un symbole qu’on retrouve constamment dans les loges maçonniques et toutes les publications maçonniques. De nombreux écrits traitant de la maçonnerie insistent sur ce point. C’est probablement l’œil unique du Dajjal (le faux messie).
Voici ce que les anciens membres et les chercheurs disent de la franc-maçonnerie :
-la Franc-Maçonnerie est une secte satanique qui rêve de la destruction totale, violente, des religions.
– la Franc-Maçonnerie est à l’origine des meurtres, magouilles et participe à toutes les affaires véreuses.
– la Franc-Maçonnerie aide financièrement des sectes cousines telles que l’Eglise de Scientologie et les Témoins de Jéhovah.
– la Franc-Maçonnerie tisse des liens avec les réseaux internationaux de pédophilie.
– les Francs-Maçons sont portés sur la totale liberté sexuelle voire l’inceste.
– la Franc-Maçonnerie incite à la débauche via, notamment, les médias, etc.

3- Les sectes

On a du mal à définir ce mot. Ce qui est communément admis :
Le mot secte a d’abord désigné soit un ensemble d’hommes et de femmes partageant une même doctrine philosophique, religieuse, etc. soit un groupe plus ou moins important de fidèles qui se sont détachés de l’enseignement officiel d’une Église et qui ont créé leur propre doctrine.

Il est devenu un terme polémique, qui désigne un groupe ou une organisation le plus souvent à connotation religieuse dont les croyances ou le comportement sont jugés obscurs ou malveillants par le reste de la société. Généralement les responsables de ces groupes sont accusés d’une part de brimer les libertés individuelles au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs disciples afin de s’approprier leurs biens, de les maintenir sous contrôle, etc. et d’autre part d’être une menace pour l’ordre social.
Dans son Dictionnaire philosophique, Voltaire classe comme sectaire toute croyance non acceptée universellement ou non prouvée de façon évidente. (Source : Wikipedia)
Le phénomène des sectes se propage et se mondialise avec la mondialisation. L’hérésie et le secret sont des éléments communs à toutes les sectes. Exceptées dans une certaine mesure les sectes musulmanes, les activités de la plupart des sectes tournent autour du sexe, de l’argent, de la drogue, du meurtre et des suicides.

Ces organisations représentent un danger pour les individus et pour la société. Les sectes sont des instruments entre les mains de Satan pour dévier, corrompre, diviser, verser le sang.

En France, fin 1993, la Commission nationale consultative des droits de l’Homme proposait cette définition : « Groupement se présentant ou non comme une religion, dont les pratiques constatées sont susceptibles de tomber sous le coup de la législation protectrice des droits des personnes ou du fonctionnement de l’État de droit ; comportement sectaire : refus des lois, en exerçant des voies de fait, en accomplissant des détournements, des abus de confiance, des infractions financières et fiscales, des mauvais traitements, de la non-assistance à personne en danger, des incitations à la haine raciale, des trafics de stupéfiants. »

Le rapport de 1999 de la MILS (Mission interministérielle pour la lutte contre les sectes) donnait la définition plus brève : « Association de structure totalitaire, déclarant ou non des objectifs religieux, dont le comportement porte atteinte aux droits de l’Homme et à l’équilibre social. »…Divers critères tels que la manipulation mentale des adeptes, l’organisation pyramidale et la centralisation du pouvoir aux mains d’une personne avec autorité charismatique, comme un gourou, ou d’un collège restreint de dirigeants, l’extorsion de fonds ou encore le fait que la doctrine se présente comme exclusive sont employés pour cette étude
…Des affaires de suicides collectifs ou d’agressions sexuelles ont défrayé la chronique depuis 1978 entraînant une importante médiatisation du phénomène, provoquant de profondes inquiétudes.

3.1 Quelques critères permettant de repérer le caractère sectaire d’une organisation

Manipulation mentale des adeptes;
Centralisation du pouvoir aux mains d’une personne avec autorité charismatique, par exemple un gourou, ou d’un cercle restreint;
Organisation pyramidale;
Extorsion de fonds;
Incontestabilité de la doctrine.
En outre, certains y ajoutent d’autres critères, peut-être moins répandus :
Contrôle du milieu : tentative de contrôle des sources d’information et des interactions sociales externes des membres, encouragements à arrêter les relations avec toute personne externe;
Infaillibilité et doctrine sacrée : présentation des idées du groupement comme l’unique vérité et le seul accès au salut, dissuasion de toute réflexion critique sur la doctrine;
Mysticisme : rapprochements entre des événements et des causes surnaturelles;
Pureté : référence à un idéal inatteignable qui réglemente les actes des membres en les amenant à toujours plus d’efforts;
Autoritarisme : pouvoir fort du gourou et culte de la personnalité ;
Doctrine secrète (ésotérisme) : enseignements secrets dont la divulgation au monde extérieur est strictement interdite;
Élitisme (ésotérisme) : mise en valeur des membres du groupe comme supérieurs;
Brimades et/ou confession forcée en cas de violation des règles établies;
Bannissement : interdiction de tout contact avec des anciens adeptes (concept semblable à l’excommunication)
Rupture entre la secte et la société.

3.2 Quelques-uns des dangers que représentent les sectes

Pour l’individu (l’adepte ou l’un ses proches : conjoint, enfants, parents…)
Rupture avec le milieu familial (séparations, divorces, injures, calomnies…);
Rupture avec la vie sociale, culturelles et civiques (interdits, isolement);
Enfants non scolarisés;
Abus financiers;
Mauvais traitements (mauvaise alimentation, privation de sommeil, absence de soin, traitements médicaux dangereux, non-assistance à personne en danger);
Abus sexuels;
Destruction de la personnalité sur les plans physique, psychique, intellectuel, relationnel;
Suicides (individuels ou collectifs);
Pour la société
Fraudes financières et fiscales;
Incitations à la haine raciale;
Infiltration des centres du pouvoir économique, politique et judiciaire;
Trafic de stupéfiants;
Actions terroristes. (Source wikipedia.org)

3.3 Ce qui pousse dans les bras des sectes

Les raisons qui conduisent à être séduit par une secte sont de même nature que dans le cas d’une religion « classique » :
Le mal être : l’angoisse face à la mort, la solitude, le besoin d’affection, la perte de repères familiaux,
La nostalgie d’un certain paternalisme des institutions, besoin d’appartenir à une organisation structurée;
Le besoin d’irrationnel, de merveilleux, de mystère, d’enchantement, de miracles, d’apparitions extraordinaires….Mais c’est avant tout la très grande crédulité des adeptes qui fait prospérer les sectes

3.4 Les sectes en France

Il serait fastidieux de dresser une liste de toutes les sectes en France où leur nombre avoisine les 600. On peut citer celles-ci à titre d’indication :
Alliance Universelle, Mormon, scientologie, nouvel âge, Arche de Marie, Association pour l’Unification du Christianisme Mondial (AUCM) – MOON, Chevaliers du Lotus d’Or
Clé de l’Univers, Club Prélude à l’Age d’Or, Comètes oxygènes, Le Moulin du Soleil, Communauté pour la propagation de la Vie Universelle – Cosmos – Intuition-Ailes, Les extra-terrestre, Eglise du Christ International en France, Eglise Néo-Apostolique de France, Eglise philosophique luciférienne, Eglise Universelle de Dieu, Le Monde à Venir, La Pure Vérité, Eglise Universelle du Royaume de Dieu, Mission de la Lumière Divine (MLD), Energie et création – Energie et créativité, Energie Humaine et Universelle France – HUE France, Ermitage du Christ de la Paix, Espace Culturel Etre Maintenant – ECEM, Famille de Nazareth, Fédération Française pour la Conscience de Krishna, Fraternité Blanche Universelle, Fraternité Notre Dame, A. M. T. (Association de Méditation Transcendantale), L’Arbre au Milieu, La Science du Mental, La voie de la Lumière (Unité de Recherches sur l’Evolution de la Lumière), La Voie Internationale, Le Club des surhommes, Grande Loge du Vril (GLDV), Ordre Maçonnique de l’Himalaya, Ordre Mondial, Le Grand Logis, Les amis de Marie, Les croisés de la nouvelle Babylone, Les jardins de la vie, Lumière dorée, Mission Timothée, Mouvement du Graal en France, Mouvement Humaniste, Apocalypse, Tabitha’s Place, Ordre des Chevaliers de France et de la Trinité Sainte, Ordre du Graal Ardent, Ordre du Temple Universel, Ordre de Saint Collomban, Ordre Rénové du Temple (ORT), Oxyon 777 (Ex Harmonia), Philosophie de la Nature, Reine de la Paix, Société des amis des Esprits, Révélation de la 7è heure, Saint-Bani, Sanctuary, Savoir Changer Maintenant (SCM), Troisième Civilisation, Sukyo Mahikari, Lumière de vérité, Témoins de Jéhovah, etc.

3.5 Les suicides au sein des sectes

Le 18 novembre 1978, 914 adeptes du Temple du Peuple (People’s Temple), dont 260 enfants, meurent par absorption volontaire de cyanure ou assassinés dans le temple de Jonestown au Guyana ; le Gourou, Jim Jones, fut retrouvé mort d’une blessure à la tête par arme à feu.

Le 19 septembre 1985, 60 adeptes de Datu Mangayanon se suicident à Mindanao aux Philippines ;

Le 1er septembre 1986, 7 adeptes de l’Église des amis de la vérité se suicident à Wokayama au Japon ;

Le 28 août 1987, 32 adeptes de Park Soon Ja se suicident à Séoul en Corée du Sud ;

En 1993 72 adeptes davidiens meurent dans l’incendie de leur ferme lors du Siège de Waco au Texas alors que la police les assiégeait depuis plusieurs semaines. ;

À trois reprises de 1994 à 1997, des adeptes de l’Ordre du Temple solaire sont retrouvés morts, suicidés ou assassinés : le 4 octobre 1994 53 adeptes (dont 16 enfants) dans deux villages de Suisse, Cheiry et Salvan ; le 23 décembre 1995, 16 adeptes parmi lesquels 3 enfants, retrouvés carbonisés dans le Vercors en France et le 24 mars 1997, 5 autres adeptes sont retrouvés morts au Québec ;

Le 26 mars 1997, 39 adeptes de la secte Heaven’s gate (Porte du Paradis) se suicident par ingestion de phénobarbital, dans une villa de Rancho Santa Fé, en Californie ;

20 mars 1995 : l’attentat au gaz sarin perpétré par des membres de Aum Shinrikyo dans le métro de Tôkyô fait 12 morts et plus de 5 000 blessés ;

Le 18 mars 2000 : À Kanungu, En Ouganda, près de 500 adeptes de la secte apocalyptique de Joseph Kibwetere, le « mouvement pour la restauration des Dix Commandements de Dieu », s’immolent ou sont brûlés vifs dans leur église ; un charnier de près de 500 personnes est découvert ensuite dans les environs.

Chez les Mutis», en Afrique du Sud, le sacrifice rituel est longtemps resté un sujet tabou, dont personne ne voulait s’occuper. Les meurtres rituels et les disparitions ont atteint des proportions énormes, dépassant le millier chaque mois, mais les gens ne disent rien par crainte des représailles des sorciers, perçus comme très puissants par la majorité de la population.

4- Les sectes islamiques

L’apparition des sectes dans le monde musulman est liée à plusieurs facteurs. Certaines sectes sont nées des divergences générées par la mauvaise compréhension ou la mauvaise interprétation du texte sacré. D’autres doivent leur apparition à des motifs séditionnistes, d’autres à des pratiques ‘‘soufies’’ ou mystiques, d’autres ont été forgées par des puissances coloniales pour déformer les enseignements de l’Islam.

De plus, l’ouverture du monde musulman sur d’autres nations et civilisations comme celle de l’Inde, des perses ou du monde gréco-romain, a contribué au développement du mysticisme et des activités sectaires chez les musulmans.

Néanmoins, il existe des groupes qui, bien qu’ayant un caractère sectaire à la naissance, ont évolué de manière à devenir des « madhahibs », écoles juridiques ou de pensées n’ayant pas les caractéristiques d’une secte.
A cet effet, je me bornerai à quelques exemples :

4.1 Les Khawârij

Les Khawârij sont apparus suite au différend entre ‘Ali et Mu‘âwiya. Ils ont refusé l’arbitrage entre ces derniers à l’issue de la bataille de Siffîn qui les avaient opposés en 657. Cette bataille entre musulmans avait été meurtrière et ‘Ali accepta l’idée d’un arbitrage pour arrêter le bain de sang. Les Khawârij ont prétendu que l’arbitrage appartient à Allah seul… Et ils ont décidé d’assassiner ‘Ali, Mu‘âwiya et ‘Amr Ibn al-‘As… Durcissant leur position, d’un point de vue théologique aussi, ils ont prétendu la subordination de la foi aux oeuvres: tout péché grave (pour eux) est une infidélité manifeste à l’égard de Dieu, et celui qui le commet doit être considéré comme s’excluant, de lui-même, de la religion, et être traité en conséquence…

4.2 Les mu‘tazila

Les mu’tazila sont réputés pour l’exaltation de la raison.
Cette dernière prône le libre arbitre, contrairement au déterminisme.
Selon cette secte, l’homme crée ses propres actions bonnes et mauvaises et mérite pour tout ce qu’il fait récompense ou châtiment dans l’autre monde. Dieu est infaillible pour lui attribuer le mal ou l’injustice. L’homme est donc libre (principe de la liberté) en tout ce qu’il fait …

4.3 Al-jahmiyya ou les mu’attilah

Les adeptes de cette secte ont dévié en niant les Attributs de Dieu cités dans le Coran et la Tradition (Sunna). Pour eux, Dieu ne voit pas, n’entend pas, ne parle pas – sous prétexte que les Attributs en question nécessitent des organes du corps, chose que l’on ne peut attribuer à Dieu – Exalté Soit-Il. Ce serait de l’anthropomorphisme, affirment-ils. La foi est la connaissance de Dieu et l’incroyance la méconnaissance de Dieu. Cette hypothèse est basée sur des conceptions erronées et une méthodologie boiteuse.

4.4 Al-jabriyya

L’homme, selon eux, est contraint d’agir, n’ayant ni le choix ni la liberté de ses actes.
Les oeuvres de l’individu lui sont imposées (par Dieu). Celui-ci n’a ni volonté, ni capacité : d’où il résulte que les hommes, quoi qu’ils fassent, ne seront pas jugés et ne sont aucunement responsables de leurs actes ! A l’époque des Umayyades cette secte a commis des meurtres contre les musulmans et prétendait n’avoir aucune responsabilité de ses actes, car pour elle, c’est Dieu qui a décidé cela !

4.5 Al-murji’a

Littéralement les retardateurs : ceux qui séparent la foi des actes. La croyance d’Al-murjia est que les actes et la foi ne sont pas liés et que les actes n’ont donc aucun effet sur la foi, ni positivement, ni négativement. Selon eux, le péché ne cause aucun mal à celui qui a la foi et la bonne action n’est d’aucune utilité pour celui qui n’a pas la foi. Cette secte se confond souvent avec Al-Jahmiyya susmentionnée. La seule différence : Al-Jahmiyya croit que la foi est la connaissance par le cœur, alors qu’Al-Murji’a exige la déclaration par la langue avec la foi par le cœur.

Parmi les sectes modernes, figurent, entre autres : Ahmadiyya, bahaï-ya, Tidjaniyya

4.6 Ahmadiyya ou Qadiyâniyya

Ahmadiyya ou Qadiyâniyya est une secte hérétique qui propage des idées fausses sur l’Islam
Elle est apparue en Inde à la fin du 19° siècle. Cette secte fut créée à l’initiative du gouvernement britannique afin de combattre l’idée de Jihad et de contrecarrer la résistance au colonialisme anglais.
Mirza Ghulâm Ahmad (fondateur de la Qadyâniyya) fut choisi par les Anglais pour cette mission de brouillage à l’intérieur de l’Islam. Il débuta ses activités comme prédicateur, puis il se donna le titre de réformateur inspiré par Allah. Ensuite, il fit un pas en avant et se proclama le Mahdi attendu et le Messie promis. Enfin, il se déclara prophète doté d’une mission supérieure à celle de Muhammad (paix et salut sur lui).

Parmi ses dires: « …J’ai dit à plusieurs reprises que ces paroles que je récite sont complètement et irrévocablement la parole de Dieu… comme celles révélée à Moïse, Jésus, David et Muhammad . Je dis la vérité… »

« Je déclare que je suis un Messager et un Prophète »

« J’ai dépensé presque toute ma vie à me soumettre au gouvernement britannique et à m’opposer au Jihad ».

Les adeptes de la secte prétendent que la ville de Qadiane (Inde) où ils effectuent le pèlerinage, est plus sainte que La Mecque et Médine. Ils autorisent le vin et la drogue. Ils qualifient de mécréants les musulmans non qadianis, interdisant l’inhumation dans leurs cimetières, la prière dans leurs mosquées et le mariage avec leurs femmes.

Cette secte est déclarée hérétique par les savants musulmans, ses membres sont interdits de pèlerinage à la Mecque par les autorités saoudiennes.

4.7 Bahaî-yya

Dans le même sillage s’inscrit la secte bahaï-ya fondée en 1844 en Iran par Ali Mohammed Shirazi, surnommé al-Bab (la porte). Cette secte soutient des croyances et des pratiques qui n’ont rien à voir avec l’Islam. Elle nie l’existence du Paradis et de l’Enfer, les miracles des prophètes, les Djinns et les Anges. Les bahaïs croient que al-Bab est la manifestation de Dieu, qu’il a tout créé avec sa parole. Dans leur prière, ils se tournent vers le tombeau d’al-Bab à Akka en Palestine. Selon eux, les prescriptions de la Chari’a comme le Jihad sont caduques, l’Islam est abrogé.

5- Les sectes sataniques

De nos jours, les sectes sataniques pratiquent ouvertement et sans gêne le culte de Satan.
Ce culte implique des scènes horribles dont les sacrifices d’enfants. Il existe des témoignages accablant sur des pratiques insensées où les mutilations et le meurtre deviennent d’autant plus courants que banalisés.
On trouve partout des églises sataniques, notamment aux Etats-Unis, pays fondateur plus particulièrement à San Francisco, en Australie, en Angleterre, en Nouvelle-Zélande, en Scandinavie, en Italie, en Espagne (on en compte 15), en France, en Russie y compris dans certains pays africains.

Aux Etats-Unis, des sectes se sont spécialisées dans la perversion des enfants que l’on voue à Satan par tout un rituel et par des sévices sexuels ou autres.

Aux souffrances morales s’ajoutent les sévices physiques : marqués au fer rouge, brûlés à l’eau bouillante etc.

5.1 Témoignages :

Satan s’est déchaîné contre le monde, tuant, violant, poussant à l’inceste, au meurtre et aux suicides collectifs.

Depuis 15 ans, des milliers de personnes sont sorties de l’ombre pour raconter leurs histoires d’enfants élevés dans des sectes sataniques. Beaucoup de points communs ne peuvent s’expliquer ni par l’hystérie, ni par une communication entre ces personnes.
Ce réseau satanique rend un culte au diable, accueille le Mal avec joie et pratique des rites dont beaucoup sont inspirés de ceux du Moyen Age. Ils façonnent les enfants et adolescents par menaces et tortures. Ils détruisent systématiquement en eux tout sentiment positif à l’égard de Dieu et de la religion. Les survivants disent avoir été ligotés sur des croix pendant des heures et avoir été violés avec des objets religieux. Ceux qui torturent s’habillent en prêtre ou en policiers pour leur donner horreur de ces personnes. Quoi qu’il en soit, après cela ils ont peur. Ils participent à des cérémonies religieuses perverses et dérisoires.
Souvent ils font l’objet de railleries par ceux qui les torturent : « Si Dieu existait vraiment, qu’il vienne arrêter la douleur !… »

Beaucoup de ces enfants sont morts. D’autres sont des satanistes convaincus. Quelques-uns ont courageusement échappé à ces sectes. […] Ceux que nous rencontrons sont les ratés du Satanisme, des survivants qui n’ont jamais perdu la foi et l’ont caché quelque part dans leur esprit, pour pouvoir un jour, s’échapper et obtenir de l’aide.
Selon leurs descriptions, les bourreaux incisaient ces enfants pour « insérer les démons dans leur corps », puis on les forçait à tuer d’autres enfants avec des couteaux qu’on mettait de force dans leurs mains. Après quoi, on leur disait :
– « Vous êtes mauvais, vous nous en avez donné la preuve… vous appartenez maintenant à Satan… »
Quand je les écoute, je me demande comment ils survivent. Beaucoup en sortent affaiblis et brisés […]
Source : http://www.ephphata.net/diables-et-demons/diables-demons-9.html

En mars 1999, la 3° Chaîne de télévision française diffuse un journal sous le titre : Tortures d’enfants et sacrifices

**France 3 – Mars 1999 – « viols d’enfants : la fin du silence ? »**

Viols, Sacrifices & Charniers d’Enfants à Paris étouffés par le Gouvernement !

Témoignages d’enfants violés et discrédités, lâchement ignoré par le gouvernement qui protège et couvre les bourreaux de ce puissant réseau.

Nous avons maintenant les preuves irréfutables […]
Enfants torturés pendant des cérémonies où ils sont massacrés et sacrifiés!
Violés en collectivité de groupe, brûlés et décapités par le réseau Occulte avec la complicité « Flagrante » du Gouvernement qui les couvre et les protèges!!
Source : http://occultation.over-blog.com/article-22616897.html

C’est dans le jardin qui correspondait à cette maison qu’elle fait construire une véritable chapelle satanique. Celle-ci avait des murs entièrement tapissés en noir. A l’intérieur se trouvait un autel, derrière lequel du rideau noir frappé d’une croix blanche était suspendu.
La nappe de l’autel était noire, et l’on y allumait des cierges également noirs, fabriqués avec de la graisse humaine fournie par le bourreau du nom de Levasseur. Sous la nappe noire avait été disposé un matelas, destiné au confort de la femme nue qui devait s’étendre sur l’autel lors des rituels. Le prêtre  » en baise les parties privées « , y introduit l’hostie puis s’unit à elle … Outre l’inversion de la messe catholique, il faut également signaler le sacrifice sanglant pratiqué au moment de l’offrande au Diable, équivalent démoniaque de l’Eucharistie.
Catherine de LaVoisin avouera l’offrande de fœtus avortés, le sacrifice d’une colombe (peut-être en référence à l’esprit saint) et de quelques enfants. On rapporte enfin la consommation d’un  » élixir « , composé de semence humaine, de sang menstruel voire de sang de chauve-souris …
Toutes ces pratiques assez monstrueuses sont perpétrées aujourd’hui par les sectes sataniques, avec souvent l’ajout d’autre pratiques non moins abominables. On rapporte l’existence de tortures et de sévices sexuels, de gens pendus par les pieds au dessus d’un nid de couleuvres, etc.
Le sang n’est pas seulement versé dans le seul intérêt démoniaque, c’est aussi en rapport avec le « sang du Christ qui se sacrifie pour laver le péché des hommes ».

Partout des cris d’alarme s’élèvent pour attirer l’attention sur le danger des sectes en général et des sectes sataniques en particulier. Cette situation est la conséquence de l’indifférence de l’homme à l’égard des messages de Dieu.

Allah a dit :

« Que le Diable ne vous détourne point ! Car il est pour vous un ennemi déclaré » s43 v62 وَلَا يَصُدَّنَّكُمُ الشَّيْطَانُ ۖ إِنَّهُ لَكُمْ عَدُوٌّ مُبِين
« Le Diable est pour vous un ennemi. Prenez-le donc pour ennemi » s35 v6
إِنَّ الشَّيْطَانَ لَكُمْ عَدُوٌّ فَاتَّخِذُوهُ عَدُوًّا ۚ إِنَّمَا يَدْعُو حِزْبَهُ لِيَكُونُوا مِنْ أَصْحَابِ السَّعِيرِ

« Ne vous ai-Je pas engagés, enfants d’Adam, à ne pas adorer le Diable ? Car il est vraiment pour vous un ennemi déclaré. Et ne vous ai-je pas engagé à M’adorer ? Voilà un chemin bien droit » s36 v60
أَلَمْ أَعْهَدْ إِلَيْكُمْ يَا بَنِي آدَمَ أَنْ لَا تَعْبُدُوا الشَّيْطَانَ إِنَّهُ لَكُمْ عَدُوٌّ مُبِينٌ
وَأَنِ اعْبُدُونِي هَٰذَا صِرَاطٌ مُسْتَقِيمٌ

« Ô vous qui avez cru ! Ne suivez pas les pas du Diable. Quiconque suit les pas du Diable ne manquera pas de tomber dans la turpitude et le vice » s24 v21.
يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا تَتَّبِعُوا خُطُوَاتِ الشَّيْطَانِ وَمَنْ يَتَّبِعْ خُطُوَاتِ الشَّيْطَانِ فَإِنَّهُ يَأْمُرُ بِالْفَحْشَاءِ وَالْمُنْكَرِ

Ahmed Simozrag