Nouvelle stratégie pour le Sahel : Issoufou Mahamadou, le choix pertinent d’Antonio Guterres !

 

Au moment où certains individus malpropres tentent de le trainer dans la boue, on ne cesse de lui reconnaître le mérite et l’excellence de son leadership au point de le solliciter davantage pour des œuvres grandeur nature. En portant son choix sur Isssoufou Mahamadou pour présider le panel indépendant de haut niveau sur la sécurité et le développement, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a choisi « l’africain de la décennie », l’homme qu’il faut pour faire bouger les lignes au Sahel.

Quelques mois après son départ de la Présidence de la République du Niger, Issoufou Mahamadou ne cesse de récolter des lauriers. Après les distinctions à l’image du Prix Mo Ibrahim, c’est le tour des sollicitations. Après celle des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO qui, à l’issue du 59ème Sommet ordinaire de l’organisation communautaire qui s’est tenu le samedi 19 juin 2021 à Accra, ont fait appel à Mahamadou Issoufou pour être champion de la mobilisation des ressources pour le financement du Plan d’Actions régional de lutte contre le terrorisme, la même organisation l’a désigné comme médiateur dans la crise au Burkina Faso. Et il est à ce jour très loin de décevoir.

Les seuls déçus sont ceux qui ne rêvent que de le voir honni en ce monde. La raison ? Elle tient plus à la méchanceté qu’à autre chose. Ils n’ont de cesse d’imaginer des scénarios pouvant servir leur dessein, mais la grandeur de l’homme a toujours su l’élever au-dessus des considérations de caniveaux.

Dans leurs rêveries, ils se sont imaginés le Président Issoufou Mahamadou tomber dans le piège de la tentation du pouvoir ; répondre aux chants des sirènes qui scandent en chœur « tu es le messie, tu es indispensable pour ton pays ; nul autre citoyen ne saurait conduire ton pays à bon port ; ton départ sonnera le glas de la marche vers le progrès économique et social dont tu as été l’artisan ». À tous ces maitres-chanteurs, nous leur disons que c’est mal connaitre l’homme. Et ils l’ont appris à leurs dépens.

Issoufou Mahamadou est un homme politique comme on n’en trouve que rarement en ce monde. Il est un homme pour qui la parole revêt une importance particulière une fois qu’elle a été donnée. Mieux, il ne donne sa parole qu’après s’être convaincu du bien-fondé de sa décision ; ses décisions sont d’une incroyable clairvoyance et frisent la voyance pour ne pas dire la prophétie. Certaines décisions, par lui prises, ne sont comprises que longtemps après. Cet homme imbu de valeurs morales fortes, démocrate convaincu et leader avéré, a conduit ses camarades deux décennies, en s’appuyant sur des valeurs solides. Il a dirigé le Niger avec la même attitude ; sa seule boussole reste comme toujours l’intérêt de ce pays. C’est sans conteste un grand homme comme l’histoire de l’humanité en a très peu connu.

C’est sur la désinvolture somme toute improbable, impossible d’un tel Monsieur, que l’opposition nigérienne avait fondé tous ses espoirs de prendre le pouvoir au Niger. Autant dire qu’ils (les opposants) ont, à nouveau, fait étalage de leur incompétence politique mais aussi de leurs fortes propensions à miser, encourager les comportements vils dont ils sont passés maitres. Toute chose étrangère au PNDS-Tarayya, ce parti politique au sein duquel on milite pour des valeurs, des idéaux qui en constituent le socle qui lui a permis de demeurer un bloc uni pour grandir et devenir ce rock sur la scène politique nigérienne et africaine au point où pour le défaire dans les urnes, ses adversaires se retrouvent tellement désarmés et désemparés pour ne fonder tous leurs espoirs sur la géomancie politique. Et les dernières élections générales en ont apporté la preuve.

Le Président Issoufou Mahamadou a fait, une fois de plus, une entrée inoubliable dans l’Histoire, n’en déplaise à ceux qui rêvent de voir notre pays s’enliser dans l’impasse en n’organisant pas les élections dans les délais constitutionnels. Issoufou Mahamadou n’a pas cédé à la tentation des démons de l’éternité, il est plus fort que cela. Pour ainsi dire « N’EST PAS ISSOUFOU MAHAMADOU QUI VEUT ! »

Déchargé de ses fonctions de Chef de l’Etat, Issoufou Mahamadou a donné les signes avant-coureurs de ses nouveaux chantiers. Celui de sa fondation bien annoncé et…bien évidemment celui du parti mais celui d’apporter sa pierre dans l’édification d’un monde de paix et plus juste.

C’est à ce titre que le Secrétaire Général des Nations Unis, Antonio Guterres lui a confié la conduite d’un groupe de travail sur le Sahel. « Nous avons constitué, sous l’égide du Président Mahamadou Issoufou, une équipe pour qu’elle puisse proposer à la communauté internationale, une nouvelle stratégie pour le Sahel parce que ce qu’on fait maintenant ne suffit pas » a déclaré M. Guterres aux médias.

C’est dire que la gloriole d’Issoufou Mahamadou est loin d’être finie ; il poursuit sa marche de façon impériale et continue ainsi d’imprimer sa marque dont on se souviendra longtemps après.

En juillet dernier, à la suite de son succès comme médiateur au Burkina Faso, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo avait déclaré :  ‘’Issoufou Mahamadou n’a rien perdu de sa main magique quand il était chef d’Etat’’.

A ses pourfendeurs, nous rétorquons dans le sillage de Martin Luter King que celui qui a atteint le sommet de la montagne n’a plus rien à craindre. Issoufou Mahamadou continue son ascension. Et c’est Dieu qui élève qui Il veut et humilie qui Il veut.

Oumou Gado

 

Niger Inter Hebdo N° 81 du mardi 27 Septembre 2022