La tournée de proximité entreprise par le président du Parti Nigérien pour la Démocratie et le Socialisme (PNDS Tarayya), Mohamed Bazoum, dans la région de Maradi a été digne d’une démonstration de force. Au vu de l’accueil à lui réservé par les populations de la région, l’on comprend, aisément, que Mohamed Bazoum a mis pied dans un autre fief de son parti.
Partout, il n’a croisé que des foules immenses, des militants et sympathisants avides de le rencontrer, de lui faire part des préoccupations qui sont les leurs et de lui témoigner leur grande satisfaction et leur reconnaissance pour les réalisations dont ils ont été bénéficiaires grâce au Programme de la Renaissance du Niger conduit par le Président Issoufou Mahamadou depuis son accession au pouvoir.
Issoufou Mahamadou qu’ils n’oublient jamais pour avoir été le leader du PNDS Tarayya qui avait créé cette bonne tradition de visite de proximité que Mohamed Bazoum est en train de perpétuer à son tour. En rappel, alors qu’il était à l’opposition, il ne manquait jamais de sillonner le Niger de telle sorte qu’il a visité la moindre petite localité, aussi éloignée soit-elle dans les confins du pays.
Cela a été évidemment bénéfique, puisque, constamment, il a gagné en popularité. Les populations du Niger profond, ayant régulièrement reçu ses visites de courtoisie, ont fini par l’adopter car elles sont certaines d’une chose : le pied ne va pas là où le cœur ne veut pas, comme le dit un adage bien connu de chez nous.
En conséquence de quoi, de façon constante, à toutes les élections, Issoufou Mahamadou, a progressé en nombre de suffrages. Petit-à petit, le PNDS tarayya, son parti, devint la plus grande formation politique de notre pays, rejetant au peloton de queue les partis qui, pourtant, étaient considérés d’avenir à une certaine époque. C’est, donc, sur les traces du Président Issoufou que s’inscrivent les tournées de proximité actuelles de Mohamed Bazoum.
Au regard de la très grande mobilisation des militants et sympathisants du parti dans les régions que ce dernier a sillonnées, l’ascension en termes de force et de poids du PNDS Tarayya est partout indéniable.
Tous les départements et communes de la Région de Maradi ont été visitées par le leader rose afin de saluer, s’enquérir de la situation des populations, écouter les témoignages de reconnaissance, informer sur les futures grandes réalisations et encourager les militants du parti à rester mobilisés pour rendre le parti encore plus fort.
Des meetings et des bains de foules qui ont drainé des marées humaines ont jalonné son passage dans la région. Selon toute vraisemblance, ce centre-sud du Niger est devenu le nouveau fief du PNDS.
Au vu des marées humaines qui ont réservé un accueil de grand jour et l’enthousiasme des populations à recevoir chez elles la visite d’un hôte de marque de la trempe de Mohamed Bazoum, les prochaines élections présidentielles et législatives au Niger seraient une promenade de santé pour les roses.
Ce sera au grand dam de ceux qui espèrent prendre le pouvoir sans faire le terrain et de ceux qui, sans avoir, au préalable, fait un travail de fond qui convaincrait les populations à leur accorder leurs suffrages, projettent de contester les résultats des futures élections.
Semer la chienlit en poussant les populations à l’insurrection dans l’espoir d’occuper le fauteuil présidentiel sans élections est aussi un autre projet des opposants à Mohamed Bazoum.
D’ailleurs, ils viennent de s’organiser en Coalition pour l’Alternance Démocratique 2020-2021 (CAP 20-21). Tout un programme qui, déjà, a tendance à voler en éclats à cause de certaines velléités fort peu démocratiques d’un de ses leaders qui, à analyser de trop près, entend user ladite coalition à son seul compte pour assouvir des ambitions tout à fait personnelles.
De son côté, le Président Mohamed Bazoum, en homme d’Etat imbu des principes de la démocratie et de l’Etat de droit, sans pour le moins être affecté par l’atmosphère vénéneuse savamment voulue par l’opposition dans la capitale, a continué sa tournée de proximité dans les régions de Maradi et de Diffa où les foules en liesse lui ont réservé un accueil chaleureux, digne de grand jour.
Bassirou Baki Edir