Dans le cadre de sa visite de travail qu’il effectue du 19 au 21 juillet 2023 à Tahoua, le Président de la République a, dès son arrivée dans la région de l’Ader, visité la base des drones de l’armée de l’air avant de se rendre à la base du 42è BIA de la Zone de Défense n°4, pour ragaillardir les troupes face aux défis sécuritaires auxquels elles sont confrontées.
Le Président de la République a d’abord tenu à saluer les FDS de la région de Tahoua, avant de les encourager à continuer dans la même dynamique d’engagement et de détermination face aux défis sécuritaires. Cette zone, a dit le Chef Suprême des armées, est une zone cruciale pour la sécurité du territoire nigérien.
Au regard du contexte difficile auquel fait face les Forces de Défense et de Sécurité dans la région, le Président s’est réjoui que la mission assignée aux FDS, s’est acquittée avec beaucoup de succès sur tous les fronts jusqu’à la frontière malienne.
Aux vaillants soldats des FDS, le Chef de l’État a dit que ‹‹ c’est parce que vous êtes présents, que vous vous déployés, que vous rayonnez très loin de vos bases respectives, dans les conditions de difficultés caractéristiques à cette situation, que les Nigériens dorment en paix ››.
Saluant les résultats engrangés par toutes les forces en face de l’ennemi, le Président a déclaré qu’il est venu célébrer ces moments de leurs batailles qui ont été décisifs pour la sécurité du pays.
Frontalier avec l’Algérie, le Nigéria et le Mali, le Niger est confronté à plusieurs attaques perpétrées par des groupes armés terroristes, notamment ceux opérant au Nord du Mali et Boko Haram dans le bassin du Lac Tchad.
Malgré l’ampleur de la menace, les vaillantes Forces de Défense et de Sécurité nigériennes se sont montrées, comme à leur habitude, intraitables face à ces groupuscules qui sèment la terreur au sein des populations de ces zones.
C’est pourquoi, le Président de la République, Mohamed Bazoum n’a pas manqué de rassurer quant aux moyens qui vont être mis à leurs dispositions pour que cette mission régalienne soit davantage efficiente.
Koami Agbetiafa, envoyé special