Billet : PDES 2021, le grand rendez-vous du président Issoufou !

C’est Houphouët Boigny qui a dit : «  les hommes passent quels qu’ils soient, mais le pays reste et demeure,  et c’est le pays qu’il faut considérer ». Un credo républicain.

Sous la présidence d’Issoufou Mahamadou, nous pensons très humblement que notre pays se fait de plus en plus connaitre. Le Niger fait parler de lui dans le concert des nations. Notre carte diplomatique s’élargit. Considérablement. Le Niger ne subit plus l’histoire. Notre pays ne fait plus de la figuration dans les rencontres internationales. Malgré les aléas de la politique intérieure, faite de coups bas et de mauvaise foi chez nous comme ailleurs, le leadership du président Issoufou impacte les rapports du Niger avec ses partenaires. Sous Issoufou le Niger est plus que jamais crédible.

Parlant de leadership, un grand maitre en développement personnel, l’américain Robert Greene, auteur de ”Les 48 lois du pouvoir”, disait ceci: “La qualité principale de ceux qui veulent progresser, c’est la capacité de concentration, ce focus nécessaire pour avancer et ne pas se laisser distraire par des broutilles. Et aussi leur capacité de résister, et de rebond après un échec”.  L’opposant historique d’hier, après six ans d’exercice du pouvoir a mis en évidence son potentiel de faire du Niger un pays émergent. C’est comme qui dirait un coup d’essai qui vient de s’avérer un véritable coup de maître.

Certains nihilistes ont tendance à critiquer les visites du PR à l’extérieur pour faire croire à l’opinion que le président Issoufou s’offre des villégiatures pour une promenade de santé vidant ainsi vainement le trésor national. Pourtant avec ces résultats qui crèvent l’œil, on peut dire sans risquer de se tromper que la diplomatie nigérienne sous la Renaissance a connu des avancées significatives à travers les offensives qui ont contribué à la visibilité et à la crédibilité du Niger sur le plan international. Les faits sont sacrés, les commentaires sont libres, dit-on.

Ceux qui ont passé leur temps à vilipender le chef de l’Etat, réaliseront enfin que Issoufou Mahamadou sait où il va. Le résultat vient de se concrétiser à Paris : 23 milliards de dollars levés pour 17 milliards de dollars attendus. Nul doute que c’est aussi le cumul de toutes ces actions diplomatiques tous azimuts qui viennent d’assurer un succès éclatant du PDES 2017- 2021.

Au lancement de son programme de renaissance Acte 2, au Palais des Congrès, dans un exposé magistral, le président Issoufou a prouvé sa maîtrise des problèmes du Niger et il sait méthodiquement comment sortir le Niger de l’ornière. Il sait où il va et c’est pourquoi de manière apodictique il propose un programme chiffré et indique précisément comment il entend financer ce programme. Et lorsqu’il dit devant ses partisans et alliés « Le bon politique c’est celui qui sait gagner la guerre avant de la déclarer », cela traduit véritablement un leadership visionnaire.

Cet homme d’Etat qui a eu toujours une approche programme des solutions aux problèmes du Niger, s’est illustré aux commandes du Niger comme un ingénieur sur un chantier. Le PDES 2017-2021 est sans conteste ce grand rendez-vous du président Issoufou avec le peuple nigérien.

Le philosophe togolais, Pr Yaovi Akakpo disait récemment : « Etre leader c’est être celui qui indique la direction, être capable, comme un prophète, de dire la direction de l’histoire, être capable de lire les signes des temps.» En suivant la présentation du programme de Renaissance Acte 2 par son auteur, j’avais réalisé depuis que le candidat Issoufou dépasse de loin le stade du tâtonnement pour faire du Niger un pays émergent. Ce qui donne toute sa pertinence au trait d’esprit de Bénédicte Herson: ”  Quand les qualités d’un grand leader sont au rendez-vous, impossible de rester indifférent !”

EMS